voici des innovation que l'on voit durant les mariage qui faut eviter
Q : Est-il permis que le marié se présente avec sa mariée parmi les femmes lors de la cérémonie du mariage ?
R :
Ceci n’est pas permis car c’est une preuve de la disparition de la
pudeur et une imitation des gens de la débauche et du mal. Il est
évident que la mariée a honte de se montrer devant les gens, alors
comment la présenterait-on avec son mari devant tout ce monde ?
Cheikh Ibn Jibrîn
Q
: Je pense, comme beaucoup de gens, que de nombreuses personnes
exagèrent dans les dots, et demandent des sommes exorbitantes
lorsqu’ils marient leurs filles. Ajouté à cela, ils posent d’autres
conditions. Est-ce que ces sommes perçues sont licites ou illicites ?[/size]
R :
La religion musulmane recommande que la dot soit modeste et symbolique.
Il ne faut pas la prendre pour un motif de concurrence, et il convient
d’appliquer les nombreux hadiths qui vont dans ce sens, de faciliter le
mariage et de veiller à garantir la chasteté des jeunes hommes et des
jeunes filles. Il n’est pas permis aux parents de demander de l’argent
pour eux-mêmes parce qu’ils n’en ont pas le droit. Cet argent est
intégralement le droit de la femme seule. En revanche, le père,
particulièrement, peut poser des conditions qui ne nuisent pas à sa
fille, et ne sont pas de nature à l’empêcher de se marier. Mais s’il ne
le fait pas, c’est encore meilleur et préférable pour lui.
Allah, qu’Il Soit Glorifié, a d’ailleurs dit :
« Mariez
les célibataires d’entre vous et les gens de bien parmi vos esclaves,
hommes et femmes. S’ils sont besogneux, Allah les rendra riches par Sa
grâce. »
D’autre part, Uqba ibn cÂmir rapporte que le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a dit : [
« La meilleure dot est la plus modeste.
Par
ailleurs, le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a dit à l’un de
ses Compagnons lorsqu’il voulut le marier avec une femme qui s’est
proposée en mariage à lui :
« Cherche-lui ne serait-ce qu’une bague en fer. »
lorsqu’il n’eut rien trouvé, le Prophète le maria à elle en échange de
quoi il devrait lui apprendre certaines sourates du Coran que le
prétendant a citées. Les dots des femmes du Prophète, prière et salut
d’Allah sur lui, étaient de cinq cent dirhams, l’équivalent de cent
trente riyals environ. Celles de ses filles étaient de quatre cent
dirhams, environ cent riyals aujourd’hui. Allah, qu’Il soit exalté,
dit :
« En effet, vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle [à suivre]. »
Donc,
au plus les dépenses du mariage sont modestes et minimes, au plus il
sera plus facile de garantir la chasteté des hommes et des femmes, et
au plus la turpitude et les vices diminueront, et la communauté se
multipliera. A l’opposé, au plus les dépenses sont importantes, et au
plus les gens se concurrencent dans les demandes de dots, au plus le
nombre de mariages diminuera, l’adultère se propagera, et les jeunes
seront empêchés de se marier, sauf ceux parmi eux à qui Allah l’aura
facilité.
Mon
conseil à tous les musulmans de partout est de faciliter le mariage,
d’apporter leur aide dans cette affaire, d’éviter d’exiger des dots
élevées, d’éviter de trop dépenser dans les repas de mariages, et de se
limiter à la cérémonie religieuse qui ne coûte pas trop cher aux deux
époux.
Qu’Allah améliore la situation de tous les musulmans, et qu’Il les aide à se conformer à la Sunna dans tous leurs actes.
cheikh ibn baz
Q : Est-ce que les applaudissements dans les occasions et les fêtes sont permis ou détestables ?[/size]
R : Les applaudissements dans les fêtes font partie des actes de la Jâhiliyya
(période pré-islamique) et le moins que l’on puisse dire est qu’ils
sont détestables. Mais ce qui ressort des preuves est leur
interdiction, car il est interdit au musulman de ressembler au mécréant
et Allah le Très-haut a décrit les mécréants de la Mecque :[/size]
« Et leur prière autour de la Maison Sacrée n’était que sifflements et battements de mains. »
Les savants ont interprété les expressions citées en arabe dans le verset par le sifflement et les applaudissements.
Par contre, selon la Sunna, si le croyant voit ou entend ce qu’il déteste, il doit dire : « Subhâna Allah » (Gloire à Allah) ou « Allahu Akbar »
(Allah est le Plus Grand), comme c’est mentionné dans beaucoup de
hadiths authentiques remontants jusqu’au Prophète, prière et salut
d’Allah sur lui. Les applaudissements sont permis pour les femmes dans
la prière, en présence des hommes, pour signaler à l’imam un oubli
(dans la prière), tandis que les hommes l’avertissent en disant : « Subhâna Allah », comme c’est mentionné dans la Sunna du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui.
Ainsi,
concernant les applaudissements pour les hommes, cela constitue une
ressemblance aux mécréants et une ressemblance aux femmes, et ces deux
choses sont interdites. Et Allah est le Détenteur du succès.
cheikh Ben Baz
Q
: Son éminence cheikh Ben Baz a répondu à une question portant sur le
fait que les deux mariés se présentent devant les femmes dans les
cérémonies de mariage et le fait qu’ils s’assoient sur une scène.
R :
Parmi les agissements répréhensibles que les gens ont inventés à notre
époque, il y a le fait d’installer une scène pour asseoir le couple de
mariés parmi les femmes. Le marié se trouve alors en présence de femmes
découvertes exhibant leurs atours, et il arrive même parfois que
celui-ci soit accompagné d’hommes parmi ses proches ou parmi les
proches de sa femme.
Q : Est-il permis aux femmes de danser lors des fêtes de mariage, sachant que ceci n’a lieu qu’entre femmes ?
R :
La danse n’est pas recommandée. Avant je la tolérais, mais j’ai posé
plusieurs questions sur des faits qui ont eu lieu pendant ce genre de
danse, et cela m’a conduit à l’interdire.
En effet, certaines filles sont belles, légères et gracieuses et en plus, elles ont une danse qui séduit les autres femmes.
On
m’a même raconté que pendant qu’une femme dansait de cette manière, une
autre s’est levée pour l’embrasser, et peut-être même la serrer contre
sa poitrine. Ceci engendre sûrement une tentation évidente.
Cheikh Otheimine
Q : Est-il permis que le marié se présente avec sa mariée parmi les femmes lors de la cérémonie du mariage ?
R :
Ceci n’est pas permis car c’est une preuve de la disparition de la
pudeur et une imitation des gens de la débauche et du mal. Il est
évident que la mariée a honte de se montrer devant les gens, alors
comment la présenterait-on avec son mari devant tout ce monde ?
Cheikh Ibn Jibrîn
Q
: Je pense, comme beaucoup de gens, que de nombreuses personnes
exagèrent dans les dots, et demandent des sommes exorbitantes
lorsqu’ils marient leurs filles. Ajouté à cela, ils posent d’autres
conditions. Est-ce que ces sommes perçues sont licites ou illicites ?[/size]
R :
La religion musulmane recommande que la dot soit modeste et symbolique.
Il ne faut pas la prendre pour un motif de concurrence, et il convient
d’appliquer les nombreux hadiths qui vont dans ce sens, de faciliter le
mariage et de veiller à garantir la chasteté des jeunes hommes et des
jeunes filles. Il n’est pas permis aux parents de demander de l’argent
pour eux-mêmes parce qu’ils n’en ont pas le droit. Cet argent est
intégralement le droit de la femme seule. En revanche, le père,
particulièrement, peut poser des conditions qui ne nuisent pas à sa
fille, et ne sont pas de nature à l’empêcher de se marier. Mais s’il ne
le fait pas, c’est encore meilleur et préférable pour lui.
Allah, qu’Il Soit Glorifié, a d’ailleurs dit :
« Mariez
les célibataires d’entre vous et les gens de bien parmi vos esclaves,
hommes et femmes. S’ils sont besogneux, Allah les rendra riches par Sa
grâce. »
D’autre part, Uqba ibn cÂmir rapporte que le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a dit : [
« La meilleure dot est la plus modeste.
Par
ailleurs, le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a dit à l’un de
ses Compagnons lorsqu’il voulut le marier avec une femme qui s’est
proposée en mariage à lui :
« Cherche-lui ne serait-ce qu’une bague en fer. »
lorsqu’il n’eut rien trouvé, le Prophète le maria à elle en échange de
quoi il devrait lui apprendre certaines sourates du Coran que le
prétendant a citées. Les dots des femmes du Prophète, prière et salut
d’Allah sur lui, étaient de cinq cent dirhams, l’équivalent de cent
trente riyals environ. Celles de ses filles étaient de quatre cent
dirhams, environ cent riyals aujourd’hui. Allah, qu’Il soit exalté,
dit :
« En effet, vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle [à suivre]. »
Donc,
au plus les dépenses du mariage sont modestes et minimes, au plus il
sera plus facile de garantir la chasteté des hommes et des femmes, et
au plus la turpitude et les vices diminueront, et la communauté se
multipliera. A l’opposé, au plus les dépenses sont importantes, et au
plus les gens se concurrencent dans les demandes de dots, au plus le
nombre de mariages diminuera, l’adultère se propagera, et les jeunes
seront empêchés de se marier, sauf ceux parmi eux à qui Allah l’aura
facilité.
Mon
conseil à tous les musulmans de partout est de faciliter le mariage,
d’apporter leur aide dans cette affaire, d’éviter d’exiger des dots
élevées, d’éviter de trop dépenser dans les repas de mariages, et de se
limiter à la cérémonie religieuse qui ne coûte pas trop cher aux deux
époux.
Qu’Allah améliore la situation de tous les musulmans, et qu’Il les aide à se conformer à la Sunna dans tous leurs actes.
cheikh ibn baz
Q : Est-ce que les applaudissements dans les occasions et les fêtes sont permis ou détestables ?[/size]
R : Les applaudissements dans les fêtes font partie des actes de la Jâhiliyya
(période pré-islamique) et le moins que l’on puisse dire est qu’ils
sont détestables. Mais ce qui ressort des preuves est leur
interdiction, car il est interdit au musulman de ressembler au mécréant
et Allah le Très-haut a décrit les mécréants de la Mecque :[/size]
« Et leur prière autour de la Maison Sacrée n’était que sifflements et battements de mains. »
Les savants ont interprété les expressions citées en arabe dans le verset par le sifflement et les applaudissements.
Par contre, selon la Sunna, si le croyant voit ou entend ce qu’il déteste, il doit dire : « Subhâna Allah » (Gloire à Allah) ou « Allahu Akbar »
(Allah est le Plus Grand), comme c’est mentionné dans beaucoup de
hadiths authentiques remontants jusqu’au Prophète, prière et salut
d’Allah sur lui. Les applaudissements sont permis pour les femmes dans
la prière, en présence des hommes, pour signaler à l’imam un oubli
(dans la prière), tandis que les hommes l’avertissent en disant : « Subhâna Allah », comme c’est mentionné dans la Sunna du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui.
Ainsi,
concernant les applaudissements pour les hommes, cela constitue une
ressemblance aux mécréants et une ressemblance aux femmes, et ces deux
choses sont interdites. Et Allah est le Détenteur du succès.
cheikh Ben Baz
Q
: Son éminence cheikh Ben Baz a répondu à une question portant sur le
fait que les deux mariés se présentent devant les femmes dans les
cérémonies de mariage et le fait qu’ils s’assoient sur une scène.
R :
Parmi les agissements répréhensibles que les gens ont inventés à notre
époque, il y a le fait d’installer une scène pour asseoir le couple de
mariés parmi les femmes. Le marié se trouve alors en présence de femmes
découvertes exhibant leurs atours, et il arrive même parfois que
celui-ci soit accompagné d’hommes parmi ses proches ou parmi les
proches de sa femme.
Q : Est-il permis aux femmes de danser lors des fêtes de mariage, sachant que ceci n’a lieu qu’entre femmes ?
R :
La danse n’est pas recommandée. Avant je la tolérais, mais j’ai posé
plusieurs questions sur des faits qui ont eu lieu pendant ce genre de
danse, et cela m’a conduit à l’interdire.
En effet, certaines filles sont belles, légères et gracieuses et en plus, elles ont une danse qui séduit les autres femmes.
On
m’a même raconté que pendant qu’une femme dansait de cette manière, une
autre s’est levée pour l’embrasser, et peut-être même la serrer contre
sa poitrine. Ceci engendre sûrement une tentation évidente.
Cheikh Otheimine