salam alykoum voici un aprecu du document que je vous remet plus bas a telecharger....
Qu'en est-il de l'utilisation du Kohol pendant le Ramadhân ?
Réponse :
[…] SHeikh al-iIslâm Ibn Taymiyyah (rahimahullâh) soutient que le Kohol ne
remet pas le jeûne en cause, même si le goût arrive à la gorge [du jeûneur]. Il
dit que le Kohol n'est pas nommé : « manger et boire », il ne leur est pas
assimilable parce qu'il n'entraîne pas les mêmes conséquences. De plus, il n'a été
rapporté aucun hadîth authentique et clair qui indique que l'usage du Kohol
interrompt le jeûne. Or le fondement de base veut que rien ne soit rompu et que
l'acte culturel reste valable jusqu'à ce qu'il soit prouvé qu'il ne l'est plus. Son
avis (rahimahullâh) est juste, même si la personne en sentait le goût à la gorge.
Question : Quel est l'avis du Jeûne [as-Siyâm] avec le délaissement de la prière
pendant le Ramadhân ?
Réponse :
Celui qui jeûne et qui ne prie pas, son jeûne ne lui sera d'aucune utilité, et celuici
ne sera pas accepté [par Allâh]. Et par-là, il n'est pas libéré de son obligation
[concernant la prière], et il ne lui ait pas demandé [de jeûner] tant qu'il ne prie
pas, car certes, celui qui ne prie pas est à l'exemple des juifs et des Chrétiens.
Et quel est votre avis sur un Juif, ou un Chrétien, qui jeûne alors qu'il reste
dans sa religion, est-ce que son acte sera accepté ? NON. Aussi, nous disons à
cette personne : « Repens-toi à Allâh avec la Salât [prière], et jeûne » Et celui
qui se repent, Allâh Ta'âla accepte son repentir.
http://rapidshare.com/files/89625738/Le_jeune.pdf.html
salam alaykoum
Qu'en est-il de l'utilisation du Kohol pendant le Ramadhân ?
Réponse :
[…] SHeikh al-iIslâm Ibn Taymiyyah (rahimahullâh) soutient que le Kohol ne
remet pas le jeûne en cause, même si le goût arrive à la gorge [du jeûneur]. Il
dit que le Kohol n'est pas nommé : « manger et boire », il ne leur est pas
assimilable parce qu'il n'entraîne pas les mêmes conséquences. De plus, il n'a été
rapporté aucun hadîth authentique et clair qui indique que l'usage du Kohol
interrompt le jeûne. Or le fondement de base veut que rien ne soit rompu et que
l'acte culturel reste valable jusqu'à ce qu'il soit prouvé qu'il ne l'est plus. Son
avis (rahimahullâh) est juste, même si la personne en sentait le goût à la gorge.
Question : Quel est l'avis du Jeûne [as-Siyâm] avec le délaissement de la prière
pendant le Ramadhân ?
Réponse :
Celui qui jeûne et qui ne prie pas, son jeûne ne lui sera d'aucune utilité, et celuici
ne sera pas accepté [par Allâh]. Et par-là, il n'est pas libéré de son obligation
[concernant la prière], et il ne lui ait pas demandé [de jeûner] tant qu'il ne prie
pas, car certes, celui qui ne prie pas est à l'exemple des juifs et des Chrétiens.
Et quel est votre avis sur un Juif, ou un Chrétien, qui jeûne alors qu'il reste
dans sa religion, est-ce que son acte sera accepté ? NON. Aussi, nous disons à
cette personne : « Repens-toi à Allâh avec la Salât [prière], et jeûne » Et celui
qui se repent, Allâh Ta'âla accepte son repentir.
http://rapidshare.com/files/89625738/Le_jeune.pdf.html
salam alaykoum